Les Soupes en Hiver, une Belle Louchée de Bienfaits

Reine de l’hydratation, la soupe est composée essentiellement d’eau. Elle contribue ainsi à couvrir en majorité nos besoins hydriques quotidien. La diététicienne de consoGlobe détaille tous les bienfaits des soupes et bouillons, en hiver, et pour la santé et l’équilibre alimentaire.

Potages, bouillons, veloutés, fondues, crèmes… la soupe d’hiver joue la variété et on en boit près de 13 litres par personne et par an en France. Bien chaude dans les assiettes, elle embaume la cuisine de ses bonnes odeurs. Une invitation à la déguster qui promet aussi de nombreux bienfaits nutritionnels.

La soupe d’hiver, un cocktail de bienfaits

La soupe d’hiver, comme toute soupe, est une excellente source de micronutriments. Vitamines, minéraux (potassium, calcium, sodium, magnésium, phosphore…), oligo-éléments (fer, cuivre, zinc, sélénium), la soupe a le grand avantage d’associer plusieurs légumes différents dans la même préparation apportant ainsi les qualités nutritionnelles de chacun.

De plus l’association de ces nutriments crée une synergie qui booste leur efficacité. La soupe est donc bien un cocktail de bienfaits mais aussi un plat réconfortant l’hiver et rafraîchissant l’été.

Soupe d’hiver à la carotte bien crémeuse © Dani Vincek

La soupe, un atout santé
La richesse en nutriments d’une simple assiette de soupe – de légumes – de 205 ml est incroyable ! Une telle soupe apporte  :

Des vitamines : en moyenne, de 5 à 25 % des AJR (Apports Journaliers Recommandés) en vitamines A, B1, B5 et PP, et un peu de vitamine C.
Des minéraux  :  en moyenne, 30 mg de calcium, 18 mg de magnésium ;  du fer et du sodium à des quantités variables selon les légumes, et surtout selon les recettes.

Des fibres, indispensables à une bonne régulation du transit intestinal, à des quantités variables selon les légumes là aussi, avec le poireau en tête.

Mais la soupe a encore d’autres vertus nutritionnelles :

Elle offre un très bon apport d’hydratation, l’eau de la cuisson s’ajoutant à celles contenues dans les légumes.
La soupe d’hiver est peu calorique, puisqu’elle est un souvent très pauvre en matières grasses.
Elle participe à une diminution de la prise énergétique au cours du repas : servie chaude, elle se mange lentement, parfois en mâchant s’il y a des légumes en morceaux et entraîne donc un rassasiement plus rapide.
Moins de sel dans les soupes industrielles

La teneur moyenne pondérée en sel des soupes industrielles toutes prêtes a été abaissée. Chez Knorr, par exemple, les teneurs moyennes en sodium oscillent autour de 0,30 g/100 g, soit  une diminution de 10 à 15 % de teneur en sel depuis 2001, et ce en utilisant plus de légumes et d’aromates, et moins de glutamate de sodium.

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