C’est dans la nuit de samedi à dimanche (8 mars) qu’il faudra avancer nos montres d’une heure. Ainsi, à 2 h, il sera en réalité 3 h, puisque nous passerons à l’heure avancée.
Les titulaires de permis de bar, de brasserie, de taverne, de restaurant et de club, devront cesser la vente et le service de boissons alcooliques au moment du changement d’heure, à 2 h.
Le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM) profite de cette occasion pour rappeler à la population l’importance de vérifier les avertisseurs de fumée, afin de s’assurer de leur bon fonctionnement et si nécessaire, de changer les piles de ces appareils.
À cet effet, plus de trente agents de prévention, accompagnés d’une soixantaine d’étudiants de l’Académie des pompiers et du Collège Montmorency, effectueront des vérifications d’avertisseurs de fumée dans plusieurs arrondissements et villes de l’agglomération de Montréal.
Et vous, ça vous fait quoi?
Le changement d’heure, qui aura lieu dans la nuit de samedi à dimanche, est une période difficile pour plusieurs personnes, qui voient leur nuit amputée d’une heure.
Selon un sondage mené récemment pour la compagnie Advil, deux Québécois sur cinq auraient besoin de quelques jours pour se remettre de cette heure de sommeil perdue, alors qu’un tiers de la population est plus irritable.
Selon le même sondage, 54% des gens ne dorment pas suffisamment et près de 70% des répondants avouent moins bien fonctionner lorsqu’ils ont mal dormi.
De samedi à dimanche, toutes les horloges et cadrans devront être avancés d’une heure. Ainsi, à 2h, heure normale, il sera 3h, heure avancée. On retournera à l’heure normale lors du premier dimanche de novembre.
Source: Canoe.ca – Journal de Montréal – Agence QMI
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